Pourquoi repartir travailler pour Disney quand on a déjà fait l’expérience il y a cinq ans ? Eléments de réponse…
Il est difficile de répondre à cette question juste après la fin de son premier programme car là plupart des personnes que j’ai rencontré en 2008 / 2009, dont moi même, n’ont pas envie de repartir dans cette bulle Disney.
C’était simplement agréable de revenir en France et de manger du bon roquefort !
Les années passent et quand cinq ans après vous n’avez pas encore de vie famille, célibataire, pas d’attache. Vous vous dites : pourquoi pas ? Vivre aux Etats-Unis c’est le pied quand on aime évidemment ce territoire. Je n’ai quasiment rien vu de l’Amérique profonde. Même New-York je ne connais pas, mais ce n’est pas ce qui m’attire le plus non plus. Et j’ai quelques amis en Californie à revoir, dont notamment pour le Comic-Con !
Je n’y retourne pas pour voyager à tout va comme l’on fait tous lors de notre premier programme, surtout que je ne gagnerais pas autant que dans ma position de runner à Chefs De France (quoi que avec l’évolution en tant que « VIP Tour Guide » c’est possible. J’en reparlerais…) mais plus pour m’intégrer, et vivre l’immersion version 2.0, c’est à dire sans français autour. C’est désormais plus facile car certaines choses ont changés concernant les résidences, et tout le monde est mélangé. Je vous en reparlerais également.
C’est également l’occasion de revivre tout mais en sachant tout déjà. Donc on sait ce qu’il faut faire et ne pas faire en arrivant et tout le long. Je pense que l’appréciation du programme est donc complètement différente.
En France j’ai un boulot, CDI en plus, rare en ces temps de crise ! Mais l’envie est forte de repartir dans l’état de Floride aka « The Sunshine State », même si j’ai une préférence pour la Californie mais Disney n’offre pas de jobs pour les étrangers dans ces parcs californiens.
J’ai la chance de pouvoir quitter mon boulot sans démissionner, c’est à dire prendre une année sabbatique. Donc je retrouvais mon job une fois de retour en France.
Entre la date de recrutement, la date de départ et la date de mon année sabbatique, tout se goupille finalement plutôt bien. Si tout va bien, me faut encore valider le VISA, et c’est ce 18 mars que je décollerais pour Orlando.
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Commentaires sur Une opportunité à saisir